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Santé publique. Un sérieux danger guette les populations

Posté par Rabah Naceri le 18 juillet 2014

Nos invisibles

Suite à un commentaire écrit par le docteur Kamal Bouraoui sur sa page facebook, son alerte m’a, un peu, forcé la main à publier cet article dans mon blog alors que cela fait des semaines que j’ai commencé à prendre des clichés de ces personnes pour les rendre publiques.

En effet, nous remarquons de plus en plus de mendiants, de malades mentaux, de sdf, de réfugiés syriens, maliens ou nigériens, etc…dans les rues de la ville de Bgayet. Ils sont là sous les arcades du stade scolaire, à l’ombre d’un arbre le long de la rue de la Liberté, parfois au coin d’un mur sous à un soleil de plomb. Certains passants, beaucoup plus les jeunes filles et les femmes, leur donnent une pièce mais d’autres les regardent sans les voir.
Aujourd’hui, l’inquiétude ne se situe pas dans le nombre, de plus en plus élevé, de ces personnes dans les rues du chef-lieu de wilaya mais beaucoup plus sur le plan sanitaire car ces personnes venues d’horizons divers peuvent être de dangereux vecteurs de maladies graves comme le paludisme (épidémies constatées au Mali et Niger), la polio et la bilharziose en Syrie.
Il est donc urgent que les services sanitaires de la wilaya, aidés par le Croissant Rouge Algérien et les associations humanitaires, lancent une sérieuse campagne de dépistage des maladies parasitaires et infectieuses et de les traiter avant qu’une épidémie ne se déclenche.

Cette question relevant de la santé publique doit susciter l’inquiétude des autorités sanitaires de toutes les wilayates qui connaissent la même situation.

Publié dans 1.1. SANTE PUBLIQUE | Pas de Commentaire »

Les Bougiotes dénoncent l’absence de l’Etat

Posté par Rabah Naceri le 7 juillet 2014

Habituellement, je n’insère que les articles portant sur des sujets qui intéressent toute la wilaya de Bgayet ou tout au moins qui concernent plusieurs communes mais aujourd’hui, je m’accorde la liberté de déroger à cette discipline que je me suis imposé pour parler d’une situation assez particulière car elle empoissonne la vie à plusieurs familles, au personnel enseignant, aux 450 élèves fréquentant l’école Azzoug et à de nombreux commerçants.

Cette situation est celle qui prévaut au niveau de l’arrêt de bus « El-Qods », situé sur l’avenue Ben-Boulaïd, où l’on relève une absence totale de l’Etat remplacée par celle d’une mafia des transporteurs urbains. Cet arrêt de bus a pris l’allure d’une véritable gare routière où l’on compte parfois 39 bus qui se suivent à moins de 60cm les uns des autres formant ainsi un long chapelet qui s’étire sur une distance de plus de 250mètres (ces 39 bus, c’est moi-même qui les ai comptés).
Pourquoi ?
Parce que les premiers bus qui arrivent à la station El-Qods gardent cette place jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de voyageurs sur les quais. Les convoyeurs de bus descendent sur le quai et crient à tue-tête les stations desservies, ce qui donnent une allure de marché aux puces. A ces cacophonies s’ajoutent les coups de klaxon des bus qui se  trouvent derrière pour manifester leur colère contre ceux qui les précèdent car ils leur prennent toute la clientèle.

Le premier grand poison est le tapage provoqué par ces chauffeurs de bus avec leurs stridents klaxons à des heures parfois impossibles où les familles viennent à peine de se réveiller ou bien les élèves sont en classe et le second est le blocage de la route aux véhicules qui veulent prendre la rue des Frères Chikirou qui débouchent sur l’école Azzoug et les quartiers environnants.
Le blocage de cette route provoque un autre bouchon qui se terminent souvent par des bagarres violentes entre les résidents de ce quartier et les chauffeurs ou bien entre les conducteurs de véhicules légers qui viennent livrer la marchandise ou bien qui ramènent leur progéniture à l’école et les chauffeurs de bus devenus avec le temps de vrais dangereux.

Plusieurs appels à la police qui restent sans suite alors que nous apercevons plusieurs policiers s’ennuyer par manque d’activités  du côté des Babors. Tout récemment, des résidents de la rue des frères Chikirou ont carrément fermé l’avenue Ben-Boulaïd avec leurs véhicules et des plaques métalliques jusqu’à l’arrivée des policiers qui ont promis de régler définitivement le problème. Moins d’une dizaine de minutes plus tard, aucun policier n’est resté à cet endroit pour discipliner les bus qui n’ont pas hésité une seconde pour reprendre les klaxons et obstruer la rue des Frères Chikirou.

Nous nous interrogeons aujourd’hui sur ce laxisme des services de l’ordre qui autorise le désordre et la « loi » imposée par ces chauffeurs de bus qui ne respectent rien et personne. Jusqu’où l’anarchie ?

Bus_Anarchie

Cette photo a été prise aujourd’hui, lundi 7 juillet 2014, et elle dure 12 mois sur 12 sauf les vendredi

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