L’ancien tribunal se meurt !!!!
Posté par Rabah Naceri le 26 janvier 2014
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Posté par Rabah Naceri le 26 janvier 2014
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Posté par Rabah Naceri le 22 janvier 2014
L’association GEHIMAB (Groupe d’Etudes sur l’HIstoire des MAthématiques à Bougie Médiévale) amorce la phase finale du projet de préparation du colloque sur Mohand Cherif SAHLI qui coïncide avec le vingt cinquième anniversaire de sa mort.
Le 04 juillet 1989 disparaissait l’un des théoriciens du nationalisme algérien. Les textes-hommages publiés à l’époque (Abdelhamid Mehri, Abderrahmane Chibane, Ahmed Taleb Ibrahimi, Mouloud Kassim,…) avaient souligné sa contribution. Bien que philosophe de formation, il devint historien par patriotisme, en privilégiant les époques charnières (antiquité, médiévale, XIXe siècle) et les hommes représentatifs de l’indépendance de son Pays (Youghourta, Ibn Tumert, l’Emir Abdelkader et, en projet, les acteurs de l’insurrection de 1871). Son oeuvre clarifie « la réalité et la pérennité d’une patrie algérienne avec ses légions de héros et de martyrs ». A cet effet, il réalise une analyse critique des thèses de certains historiens occidentaux. Cette analyse dépasse d’ailleurs le cadre de l’Algérie pour englober « toute l’Afrique colonisée, martyrisée ».
M.C. Sahli est probablement le moins connu des historiens de notre Pays. A l’aube du 25e anniversaire de sa mort, le colloque, programmé les jeudi 15 et vendredi 16 Mai 2014 sur les terres de ses ancêtres, a également pour ambition de cerner l’action et la production des intellectuels de la région de Sidi Aïch qui lui sont contemporains.
Qui est Mohand Cherif Sahli ?
Mohamed Cherif Sahli est né à Tasga, commune de Souk ou Fella, dans la tribu des Ath Waghlis (Vallée de la Soummam). Il débute sa scolarité primaire à Sidi Aïch et secondaire au Lycée Bugeaud (aujourd’hui, Emir Abdelkader) d’Alger. Il poursuit ses études à l’Université de la Sorbonne (Paris), où il obtient une licence de philosophie et une agrégation. Instituteur à Toudja, il va par la suite enseigner la philosophie dans plusieurs lycées parisiens (de 1930 à 1939, puis après 1950). C’est l’époque où il rencontre Mostefa Lacheraf. Il s’engage dans la lutte pour la cause nationale. Il devient journaliste, critique et fondateur-éditeur de journaux: El Oumma, El Ifriqiya, El Hayat et Résistance Algérienne,
En 1947, il finalise « Le message de Youghourta“ et « l’Emir Abdelkader, le Chevalier de la Foi“. En 1955, il devient membre de la commission presse de la Fédération FLN de France, chargée par Abane Ramdane de « travailler“ l’opinion française. De 1957 à 1962, il est nommé représentant permanent du FLN, puis Ambassadeur du GPRA dans les Pays Scandinaves. Au lendemain de l’indépendance, il occupe les fonctions de Directeur des Archives, puis ambassadeur de la RADP en Chine, Corée du Nord, Vietnam, puis en Tchécoslovaquie (1971 – 1978). Admis à prendre sa retraite en 1978, M.C. Sahli est décédé le 04 juillet 1989. Il est enterré au Carré des Martyrs d’El Alia.
Le Colloque. Comité
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Posté par Rabah Naceri le 17 janvier 2014
Décret exécutif n° 13-187 du 25 Joumada Ethania 1434 correspondant au 6 mai 2013 portant création et délimitation du secteur sauvegardé de la vieille ville de Béjaïa.
….
Le Premier ministre,
Sur le rapport conjoint de la ministre de la culture, du ministre de l’intérieur et des collectivités locales, du ministre de l’aménagement du territoire de l’environnement et de la ville, et du ministre de l’habitat et de l’urbanisme ;
Vu la Constitution, notamment ses articles 85-3° et 125 (alinéa 2) ;
Vu la loi n° 90-29 du 1er décembre 1990, modifiée et complétée, relative à l’aménagement et l’urbanisme ;
Vu la loi n° 98-04 du 20 Safar 1419 correspondant au 15 juin 1998 relative à la protection du patrimoine culturel, notamment son article 42 ; Lire la suite… »
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Posté par Rabah Naceri le 5 janvier 2014
Article 2 de la Convention pour la sauvegarde du patrimoine immatériel : «On entend par « patrimoine culturel immatériel » les pratiques, représentations, expressions, connaissances et savoir-faire — ainsi que les instruments, objets, artefacts et espaces culturels qui leur sont associés — que les communautés, les groupes et, le cas échéant, les individus reconnaissent comme faisant partie de leur patrimoine culturel. Ce patrimoine culturel immatériel, transmis de génération en génération, est recréé en permanence par les communautés et groupes en fonction de leur milieu, de leur interaction avec la nature et de leur histoire, et leur procure un sentiment d’identité et de continuité, contribuant ainsi à promouvoir le respect de la diversité culturelle et la créativité humaine. Aux fins de la présente Convention, seul sera pris en considération le patrimoine culturel immatériel conforme aux instruments internationaux existants relatifs aux droits de l’homme, ainsi qu’à l’exigence du respect mutuel entre communautés, groupes et individus, et d’un développement durable».
Source : http://www.unesco.org
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Posté par Rabah Naceri le 2 janvier 2014
Ce n’est pas pour vous gâcher votre passage de 2013 à 2014, mais nous ne pouvons pas ou plutôt nous ne devons pas faire semblant de regarder ailleurs pour ne pas voir la réalité de tous les jours car cela s’apparenterait à de la lâcheté.
La réalité d’aujourd’hui a pour nom l’inculture. Cette inculture a frappé fort notre commune qui était pourtant célèbre par la richesse de sa culture et le penchant très prononcé de ses citoyens. Mais…les pouvoirs publics en ont décidé autrement en fermant, depuis des lustres, les salles de spectacle sans espoir de les revoir s’ouvrir un jour.
Aujourd’hui, je voudrais vous en parler sur la célèbre salle de cinéma « Le Shangaï que les Bougiotes affectionnaient dans le temps. Cette salle de cinéma était spécialisée dans la projection des films hindous et arabes. Toutes les séances se jouaient à guichets fermés. Ne trouvant pas les mots, alors je préfère vous laisser voir quelques photos que j’ai prises moi-même.
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Posté par Rabah Naceri le 1 janvier 2014
Ouf !
Nous apprenons que la cité des 1000 logements vient d’être, enfin, baptisée « Cité Abane Ramdane« . Ceci nous éloigne un peu des appellations arithmétiques comme les étables à bovins de Hollande.
Cela ne suffit pas, me direz-vous ! Oui ! Il faut, en effet, passer à l’étape suivante qui est d’informer les propriétaires de bus de transport urbain pour changer leurs plaques d’indication et d’apposer sur les abri-bus une pancarte indiquant la nouvelle et heureuse appellation de la cité.
Il faut également associer les animateurs de radio Soummam à corriger les auditeurs lorsqu’ils prononcent les numéros de cité, etc…
Maintenant que nous le savons, nous devons nous impliquer nous aussi à faire circuler cette information autour de nous et amener les citoyens à user des nouvelles appellations et en finir avec « les 40 logements, les 600, les 300, Daouadji, Edimco », etc…
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Posté par Rabah Naceri le 1 janvier 2014
LA LEGENDE DE L’ÎLE PISAN
L’île Pisan ou de Djeribia, encore appelée l’île de Djouba d’El-Bekri, est un rocher d’environ cinq cents mètres de long et cinquante mètres de haut dont les pentes sont couvertes de végétation. Il se dresse à l’Est d’Alger, près de Bougie, et garde le souvenir du fondateur de cette ville bâtie au bord de la mer sur le flanc sud du mont Gouraya dans la verdure. Longtemps elle fut florissante dans un des plus beaux paysages de la côte algérienne. Ses maisons étaient entourées de massifs d’orangers, de grenadiers et de figuiers de Barbarie. Lire la suite… »
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