L’hôtel des Oliviers. L’interminable chantier

Posté par Rabah Naceri le 19 mars 2013

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Vous l’avez bien reconnu, il s’agit bien du fameux « Hôtel des Oliviers ». C’est ce bel édifice qui capte votre attention et celle de tous les voyageurs qui viennent à Bejaia par mer ou par air. Cela fait plus de quinze (15) ans que les travaux sont arrêtés sans que personne ne sache pourquoi et à qui profite ce blocage.

Inscrit à l’ordre du jour de plusieurs sessions de l’Apw que j’ai présidée (1997-2002), aucun responsable n’a pu nous éclairer sur son statut ni sur son devenir. Il est là ! Majestueux mais triste…attendant que les travaux reprennent et qu’il reprenne vie.

Qui bloque ? Et pourquoi ?

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22 mars. Journée contre l’oubli

Posté par Rabah Naceri le 19 mars 2013

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L’ancien tribunal se meurt en silence…

Posté par Rabah Naceri le 17 mars 2013

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Est-il utile ou nécessaire de disserter sur l’état d’abandon de l’ancien tribunal de Bejaia qui a été ravagé par une entreprise qui n’a aucune expérience dans le domaine de la restauration ?
La presse en a suffisamment parlé sur cette catastrophe…Les associations et les citoyens ont alerté toutes les autorités locales pour sauver ce chef-d’œuvre architectural…Des promesses ont été avancées publiquement et officiellement, mais hélas !
Le bouquet est que non seulement les travaux sont arrêtés, mais une décharge a commencé à se constituer derrière cet ancien tribunal.

 

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Bejaia. La côte Est du littoral menacée.

Posté par Rabah Naceri le 15 mars 2013

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Une catastrophe écologique est relevée au niveau de la côte Est de Bejaia, à 10 kms du chef-lieu, plus précisément aux abords du club hippique. Le mauvais temps enregistré ces derniers jours n’a pas ramené seulement du froid et de la neige mais aussi une mer très agitée visible tout le long de la côte Est.
Ces vagues ont pu traverser toute la plage pour atteindre la route nationale en y déposant tous les déchets solides laissés par nos estivants négligents, comme chaque année. Seulement, je me suis interrogé sur les causes qui ont fait  que ce débordement ne soit constaté qu’au seul endroit indiqué car j’ai longé la côte jusqu’à Souk El Tenine pour vérifier si d’autres endroits ont subi les mêmes dégâts. Aucun.

L’explication est très simple : le vol de sable de mer en est la cause principale. Des témoins habitant cette région auraient remarqué les va et vient des camions qui extraient du sable sauvagement dès la nuit tombée. Des cratères se créent et c’est par ces énormes trous que la mer arrive à déborder de son champ habituel pour causer des dégâts dont nul ne peut prévenir ni quantifier.

Cela nous renvoie à l’époque de mon mandat où j’ai dénoncé l’exploitation abusive des sablières du littoral bougiote qui a provoqué l’avancée de la mer de 547 mètres en emportant sur son passage des fermes, des serres, des étables, une fourrière communal, etc… Plus grave encore, cette avancée de la mer a englouti 65 mètres de la piste de l’aéroport, ce qui a menacé sa disparition pure et simple. Ceux qui ont suivi ma conférence de presse doivent certainement se rappeler de ce S.O.S lancé pour sauver notre littoral. Ceci a contraint les pouvoirs publics à réagir -comme d’habitude – à procéder à l’enrochement de toute la partie qui jouxte l’aéroport ainsi que toute la bande côtière d’Aokas.

Nous remarquerons sur les photos que j’ai prises aujourd’hui même le canal par lequel sont passées les masses d’eau de mer, le poteau en béton avec le transformateur qui est terrassé, l’édifice de la protection civile qui est complètement dans l’eau, etc…

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Fuite des cerveaux algériens…une véritable hémorragie

Posté par Rabah Naceri le 5 mars 2013

Les Américains traquent les génies algériens sur le web 

Si les cerveaux algériens s’en vont à l’étranger, c’est parce qu’ils sont mieux payés et reconnus. La preuve : les entreprises étrangères, surtout américaines, s’arrachent les génies qui mettent leurs inventions en ligne pour leur proposer des contrats en or.

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inventionscopie.jpg(Par Yasmine Bouchène). Quand vous filmez avec votre téléphone portable, vous ne vous demandez pas qui a bien pu inventer une aussi petite caméra. Eh bien c’est un Algérien ! Il s’appelle Belkacem Haba. Comme d’autres petits ou grands génies algériens, il met en ligne ses inventions sur www.algerianinventors.org, un site qu’il a bien sûr, lui-même, créé. Maintenant, il habite en Californie… Car les entreprises étrangères, surtout américaines, surveillent de près toutes ses inventions. Pourquoi ? Imaginez que vous inventez un logiciel. Une entreprise vous recrute alors et vous fait signer un contrat stipulant qu’en une année, par exemple, vous aurez à fournir 10 idées qui feront l’objet d’un dépôt de brevet. Elle met ainsi la main sur un cerveau qui lui permettra de s’enrichir, en l’occurrence vous, et vous donne pour cela des milliers de dollars.

Le plus performant des Algériens en la matière, Belkacem Haba, détient ainsi pas moins de… 188 brevets d’invention dans le domaine de l’électronique, essentiellement aux Etats-Unis et au Japon. Et son site, www.algerianinventors.org, vise à répertorier tous les chercheurs algériens, détenteurs de brevets, établis à l’étranger ou en Algérie. Objectif : créer une communauté. Résultat des courses : 405 noms d’inventeurs, détenteurs de 2021 brevets dans différentes disciplines scientifiques. Le taux de femmes algériennes détenant des brevets d’invention est de 14%. « algerianinventors.org a été lancé en novembre 2007 par un petit groupe d’Algériens résidant en Californie. Ces derniers ne sont affiliés à aucun organisme ou association, précise-t-il. Ils ont pensé qu’un tel site pourrait être utile à la communauté algérienne vivant à travers le monde en mettant en évidence la contribution d’un grand nombre d’inventeurs algériens qui restent pourtant totalement inconnus. »

 Veille stratégique

Une initiative qui n’est pas du goût de tout le monde. Certains accusent les créateurs du site de veille stratégique. « Ce type d’organisation est fait pour voler les compétences algériennes pour le compte d’autres pays. Et ce soudain intérêt des Algériens installés aux Etats-Unis (juste après l’Algerian start-up initiative) ne m’inspire pas confiance, il y a anguille sous roche », nous a déclaré Karim, un blogueur. D’autres, en revanche, s’enthousiasment face à de telles initiatives, c’est le cas de Djamel Dib, directeur d’Ok Prod. « Je trouve cette initiative admirable, après l’initiative ASI (Algerian start-up initiative), c’est la seconde fois qu’un groupe d’Algériens résidant aux USA fait un geste pour nous,et je ne peux que me réjouir de ça. » Toujours est-il que le site n’est pas le seul à faire la promotion des chercheurs algériens.

L’Institut national algérien de la propriété industrielle (INAPI) a mis en ligne sur son site (http://www.inapi.org/accueil/), les différentes étapes pour breveter une idée ou déposer une marque. De quoi orienter l’inventeur au mieux. A condition d’être très nationaliste, car il faut compter 15 000 DA pour déposer une marque et 30 000 DA pour déposer un brevet. Aux Etats-Unis, cela revient au moins cent fois moins cher. Algerianinventors.org contient la façon de procéder pour breveter une invention aux Etats-Unis, mais aussi en Algérie, de quoi donner de l’espoir à tous ces chercheurs exilés et qui veulent pourtant contribuer d’une manière ou d’une autre à aider leur pays d’origine. « Il faut d’abord mettre en contact les Algériens installés à l’étranger et ceux vivant en Algérie et s’inspirer de la méthode adoptée par les Chinois et les Japonais, déclarait Haba à It mag, il y a quelques mois. « Les gouvernements de ces deux pays ont demandé à leurs ressortissants vivant à l’étranger et ayant créé des entreprises de mettre en place des filiales dans leur pays d’origine. C’est une manière de tirer profit des compétences vivant à l’étranger sans pour autant qu’ils soient obligés de revenir de façon définitive dans leur pays. »

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