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Dernière nouvelle de 2008

Posté par Rabah Naceri le 30 décembre 2008

meslunettes.pngDe source officielle, tout le reseau d’adduction d’eau potable de la ville n’Bgayet sera refait entièrement avec des canalisations modernes et résistantes à l’érosion. Cette opération s’étalera sur plusieurs semaines, ce qui causera beaucoup de désagréments aux Bougiotes qui doivent faire preuve de compréhension pour permettre aux services techniques de mettre un terme définitif aux interminables coupures d’eau qui surviennent tout le long de l’année et aux multiples fuites d’eau que les citoyens ne cessent de déplorer et de signaler aux services de l’ADE.

De l’eau H/24 à partir de l’été prochain

(Par R.R). Le réseau d’adduction d’eau potable de la ville de Béjaïa sera entièrement refait et recalibré soif.jpgdès le début de l’été prochain avec en ligne de mire la fourniture à terme de l’eau en H24 aux citadins, et la compression du phénomène des fuites à sa portion congrue, selon le directeur de wilaya de l’Algérienne des eaux (A.D.E).
D’un coût prévisionnel de l’ordre de 4 milliards de dinars, le projet consiste en la rénovation de plus de 200km de canalisations, 29 réservoirs de stockage et 11 stations de pompage, ainsi que la réalisation de 07 nouveaux réservoirs et la mise en place d’un système de télégestion et de surveillance.
Les fuites des canalisations représentent une perte du volume produit de l’ordre de 60%.

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Le dernier fou rire de 2008

Posté par Rabah Naceri le 27 décembre 2008

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Les Youyous d’une Algérie

qui va à la tente.

(Par Kamal Daoud). L’image semble avoir fait le tour du pays: les youyous d’une ancienne présentatrice de l’ENTV, aujourd’hui élue d’une des deux chambres parlementaires, pour soutenir le 3e mandat de l’actuel président. En réaction, une partie du peuple a commenté, une autre s’est tenue le ventre à force de s’esclaffer, une tierce s’est sentie tellement gênée qu’elle a souhaité l’inexistence mdr.gifexistentielle. Pourquoi? Parce que c’était hilarant: il ne nous restait que les youyous pour clore les prochains résultats électoraux. L’essentiel n’est, cependant, pas dans le spectacle mais dans son sens: comme dit par un fin observateur, il y a des choses, des habits, des boutons de chemise, des institutions qui ne nous siéent guère. C’est trop tôt pour nous. On ne peut pas passer de la décolonisation à l’institution rien qu’en mâchant: il y faut une histoire, des élites, des philosophes phosphorescents et une longue tradition. Et puisque cela nous manque, il y a chez nous des tas de mécaniques qui ressemblent à des tourne-disques exportés en masse vers des tribus encore au stade chamanique et de la cueillette. A l’exemple des urnes, des sénats, des collèges électoraux ou des gestions par suffrages universels.

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La menace grandissante de la pollution !

Posté par Rabah Naceri le 24 décembre 2008

ordures1.jpg 

Les oueds de plus en plus pollués

dans la vallée de la Soummam.

(Par M.C Zirem). Les oueds de la vallée de la Soummam continuent de subir une pollution démesurée. Une catastrophe écologique qui ne dit pas son nom. Avec le temps, les oueds des hauteurs de l’Akfadou et des autres bourgades limitrophes deviennent des espaces pour les eaux usées et les ordures. Des espaces à ne pas visiter. L’eau qui coule représente l’une des richesses de cette région montagneuse. C ‘ est vrai que ces sources de vie ne sont pas aussi importantes comme celles des pays nordiques. Toutefois, leur présence est d’une très grande importance pour la flore et la faune, idem pour l’homme. Ici, l’eau du robinet est à savourer.

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Une mémoire en sursis à Bejaia

Posté par Rabah Naceri le 22 décembre 2008

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Patrimoine culturel immatériel.

(Par Kamal Amghar). Le secteur de la culture amorce une dynamique nouvelle. Il y a un plus livrebougie.gifévident en matière d’animation et de manifestations à caractère national ou régional. L’édition, la musique, le cinéma, le théâtre et le patrimoine suscitent régulièrement l’intérêt des pouvoirs publics et l’attention d’un mouvement associatif plus entreprenant que jamais. Des festivals, des colloques, des rencontres et des semaines culturelles sont au menu, un peu partout, à travers le pays. Les échanges entre les différentes régions sont incontestablement plus intenses.

Béjaïa a, par exemple, exposé ses particularités en la matière dans cinq wilayas : Batna, Khenchela, Relizane, Sétif et Illizi. Des chanteurs, des plasticiens, des dramaturges et des cinéastes sont associés à ces tournées qui offrent aussi des espaces aux traditions culinaires et à certaines branches de l’artisanat. La capitale de la Soummam a reçu, à son tour, autant de délégations culturelles. Elle a, par ailleurs, abrité nombre de rendez-vous culturels de première importance : le Festival national de la chanson kabyle, les Journées cinématographiques, les Rencontres du film documentaire, un mini-festival national du théâtre pour enfants et nombre d’actions conjoncturelles ou commémoratives. Les collectifs culturels autonomes et la direction de tutelle rivalisent, à ce propos, de créativité et d’innovation.

Cependant, des pans entiers de la culture locale sont en sursis ou menacés de disparition pure et simple. En effet, tout reste encore à faire en matière de préservation et mise en valeur du patrimoine culturel immatériel. De l’aveu de tous, y compris l’administration, les cultures populaires – essentiellement orales – sont en péril. Les chants traditionnels, les contes et les légendes, les adages et les poèmes, les usages coutumiers et les rites, les connaissances empiriques de nos aïeux dans de nombreux domaines de la vie, les savoirs séculaires, les jeux d’autrefois, la couture ancienne, entre autres activités artisanales, sont autant de facettes colorées de notre identité culturelle qui risquent de disparaître à jamais.

La bijouterie, l’armurerie, la sculpture sur bois et la menuiserie traditionnelle sont autant de spécialités qui ont fait autrefois la renommée de la capitale des Hammadides. C’est toute une mémoire qu’il convient de recueillir en urgence pour la soustraire à l’oubli. Fief historique de l’artisanat, Béjaïa a joué dans l’histoire un rôle de premier plan dans la transmission du savoir-faire «andalou» en la matière aux autres régions du pays. Là-dessus, on doit souligner le manque flagrant en personnel qualifié pour ce genre de missions qui exige des compétences académiques et une expérience de terrain.

Pour l’essentiel, les employés de la direction de la culture sont des administrateurs ou des animateurs dont le profil ne répond pas à ce genre d’investigations. Pour faire un inventaire sérieux, on ne peut se passer des services des gens du métier. Des musicologues, des anthropologues, des ethnologues ont un rôle de premier ordre à jouer à ce sujet. Récemment, au cours d’une rencontre avec la presse, le premier responsable local du secteur a avoué cette carence en évoquant l’impératif de la formation et du recyclage des ressources humaines. «Les stage de perfectionnement, la formation continue et les séminaires professionnels permettent aux effectifs en exercice d’acquérir le savoir nécessaire pour prendre en compte les évolutions induites par les exigence nouvelles de la gestion moderne et scientifique du travail», a-t-il estimé en promettant de saisir le ministère à ce propos. La direction de la culture avait aussi élaboré un projet d’acquisition d’une assiette de terrain pour la construction d’une annexe du Centre national de recherches préhistoriques, anthropologiques et historiques (CNRPAH). Deux vœux pieux conditionnant la sauvegarde et la valorisation d’une culture populaire qui s’amenuise de jour en jour.

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Mouvement Associatif

Posté par Rabah Naceri le 21 décembre 2008

 

Les dégâts de l’allégeance

Le gouvernement reproche au mouvement associatif son inertie et menace de sévir. Selon le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni, il y a nécessité de réviser la loi sur les associations (la loi 90-31 du 4 décembre 1990) pour mettre de l’ordre dans le domaine.

(Par madjid Makedhi). « Il est impératif de réviser les modalités d’accréditation des associations et définir leur champ d’intervention pour pouvoir atteindre les objectifs escomptés en la matière », affirme-t-il dans sa réponse à un sénateur lors d’une séance plénière consacrée aux questions orales. Une séance organisée jeudi dernier au Conseil de la nation. Affirmant que son département formulera, à cet effet, une proposition au gouvernement, le ministre n’a pas caché son mécontentement de l’action du mouvement associatif. « Une expérience de 15 ans d’activité associative a démontré qu’à l’exception de certaines associations, la majorité reste absente », déclare-t-il en précisant que la loi permet de procéder à la dissolution, par la voie de la justice,

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La drogue. Nos enfants sont en danger de mort !

Posté par Rabah Naceri le 19 décembre 2008

meslunettes.pngLe phénomène de la drogue n’est pas nouveau et n’épargne aucune région du pays. L’alerte a été donnée maintes fois et cela n’a pas réussi à freiner sa dangereuse propagation au sein de notre jeunesse qui évolue dans un espace de vide culturel extraordinaire. La menace est forte car les mesures de lutte sont faibles.

Le mortel phénomène de la drogue est plus que jamais l’affaire de tous : la cellule familiale, l’école, la mosquée, la police, la justice, la direction de la santé, la direction de la culture, l’Apc, l’Apw, la wilaya, etc…

J’ai trouvé quelques articles très intéressants dans l’hebdomadaire « Les Débats » que j’ai insérés dans cette page

Ne soyons pas indifférents face au phénomène

de la drogue !

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Un danger qui s’installe 

(Par Khadidja Mohamed Bouziane). Entre la rive sud de la Méditerranée, point de départ vers l’Europe et réputée être une passoire pour les trafiquants de tout genre, l’Algérie se trouve devant le double défi de protéger ses frontières et de rejeter les influences qui lui viennent de partout. Du fait de sa situation, notre pays assiste à la création d’un marché national de drogue qui empoisonne de plus en plus de jeunes.

cigarette.jpgEntre le début de l’année 2008 et le mois de septembre de la même année, 18 tonnes de résine de cannabis et 900 000 psychotropes  ont été saisies par les services de sécurité. Les psychotropes, peu chers et plus disponibles, sont un vrai casse-tête pour les services de lutte contre la drogue, car ils constituent un vrai danger pour la santé publique.  Ce n’est pas tout.  Durant la même période, 23 000 personnes impliquées dans le trafic de drogue ont été arrêtées. Parmi ces personnes, 5 000 sont des dealers et 17 000 des consommateurs, dont 80% sont âgés entre 16 et 35 ans. Pour les services de lutte contre la drogue, ces chiffres ne reflètent pas toute la réalité puisque beaucoup de trafiquants échappent malgré tout aux contrôles et arrivent à faire passer leur poison. Les quantités de drogue saisies, même si elles sont effarantes, sont pour leur part loin d’atteindre les quantités qui circulent entre les différents réseaux. C’est sans doute pour cette raison que les services de lutte contre la drogue s’attendent à ce qu’il y ait des quantités encore plus importantes qui seront découvertes avant la fin de l’année.  «Il faut s’attendre à bien plus de 23 tonnes à saisir pour toute l’année», dira le directeur général de l’Office national de lutte contre la drogue. Une estimation qui est loin de toucher la vraie réalité. En effet, durant ce mois de décembre, 8,6 tonnes de cannabis sont découvertes à Tindouf. Déjà plus de 26 tonnes avant la fin de l’année. La plus grande crainte de ces services, c’est de voir cette drogue destinée à l’étranger distribuée au niveau local et consommée par nos jeunes qui sont chaque fois plus nombreux à s’adonner à ce fléau.

Autre nouveauté, le trafic de la cocaïne, jusque-là destiné à l’étranger, trouve désormais des consommateurs locaux. Les filières qui affectionnent ce genre de drogue remontent jusqu’à la région subsaharienne et essaient d’être présentes en Algérie d’une manière ou d’une autre pour mieux atteindre le marché européen. Cette présence n’a pas été sans incidence sur notre pays, puisque 22 kg ont été saisis en 2007 et 800 grammes au courant de l’année 2008. Ce qui signifie clairement que les quantités non saisies sont destinées à l’usage local.

Les drogues de synthèse, un nouveau danger 

Outre le cannabis et la cocaïne, l’Algérie est confrontée à un autre danger. Il s’agit des drogues de adolescentgarcondrogues.jpgsynthèse (crack, ecstasy, amphétamines)  fabriquées à partir de substances chimiques qui sont produites d’une façon légale puis servent à fabriquer de la drogue. Pour le moment, le danger n’est pas vraiment imminent, mais le sera un jour ou l’autre surtout que les pays européens sont envahis par ce genre de drogue qui, selon l’avis des spécialistes, est encore plus dangereuse que la cocaïne, le cannabis ou le haschich dans la mesure où ses effets sur la santé sont désastreux.  Les spécialistes de la lutte contre la drogue en Algérie expliquent la rareté des drogues de synthèse chez nous par le fait que les drogues naturelles circulent en abondance et ne coûtent pas aussi cher que les autres. Mais la lutte acharnée que mènent les services de sécurité contre les trafiquants et les usagers de la drogue poussera certainement les trafiquants à se tourner vers les drogues de synthèse. «Il faut s’attendre à un changement d’habitudes de consommation», dira le directeur de l’Office national de lutte contre la drogue.  C’est pour parer à ce danger que l’Algérie s’est inscrite dans une opération sur les drogues de synthèse dans le cadre du programme d’action 2008 du réseau «MedNet», réseau euro-méditerranéen de coopération de lutte contre la drogue,  coordonné par le groupe Pompidou du Conseil de l’Europe. Car il faut bien améliorer les connaissances des personnels qui s’occupent de la lutte contre la drogue. Il est encore plus important de perfectionner le savoir des personnels des laboratoires de police. En effet, ces derniers doivent impérativement connaître et maîtriser l’analyse et l’expertise des substances psychotropes et posséder des étalons qui faciliteront le travail d’analyse. La formation se base sur deux axes principaux, à savoir la partie théorique qui comprend un aperçu sur les drogues de synthèse et leur classification, le processus de production, la détection préliminaire, c’est-à-dire les tests rapides à effectuer. Le volet pratique de la formation s’articule sur les différentes drogues saisies et les matrices biologiques.

Une enquête nationale sur la consommation de la drogue 

L’Algérie a beau essayer de mesurer l’étendue du fléau de la drogue à travers les saisies effectuées par les services de sécurité et les douaniers, mais aussi à travers des enquêtes et des études épisodiques menées par des organismes différents, il n’en demeure pas moins que la réalité reste bien loin des estimations faites à partir de ces études. C’est pour vraiment connaître l’étendue de ce phénomène qu’une enquête nationale  sur la consommation de la drogue en Algérie a été entamée à partir du 15 décembre.

10 000 ménages et 45 000 personnes âgées entre 12 et 45 ans seront interrogés pour essayer de drogues011.jpgdéfinir le profil des consommateurs, leur âge et toutes les données qui permettent de cerner l’étendue de ce fléau. Une somme de 17 millions de dollars est allouée pour les besoins de cette enquête.

En attendant les conclusions auxquelles vont aboutir les données de cette enquête nationale, les services de lutte contre la drogue sont appelés chaque jour à plus de vigilance. Les réseaux des narcotrafiquants sont très difficiles à démonter totalement ou à remonter. En effet, lorsqu’un convoyeur ou un vendeur est arrêté, il est pratiquement impossible de retrouver les autres membres du groupe. De plus, la proximité du Maroc, premier producteur de cannabis, n’arrange pas les choses et facilite la tâche des trafiquants qui choisissent les villes de l’ouest du pays, (Oran et Chlef) puis transitent par le Centre (Alger et Blida) pour écouler leur drogue. Et, plus grave encore, entre 2007 et 2008, 41 hectares de cannabis ont été découverts par les services de sécurité au sud, à l’est et au centre du pays. Ce qui change beaucoup de données et signifie que l’Algérie n’est plus seulement un pays de transit comme on l’a toujours affirmé, mais bel et bien un pays producteur. Cela complique encore plus la tâche des services qui luttent contre ce fléau, déjà submergés par toutes ces drogues qui viennent du Maroc et de certains pays africains, et que nos jeunes, confrontés à une réalité et un quotidien qui n’ont rien de reluisant, consomment pour oublier leurs soucis. La vigilance sera encore de mise, car nul n’ignore que du fait de la mondialisation et la libre circulation des produits, l’envahissement des drogues de synthèse, plus dangereuses que les autres et plus difficiles à détecter, sera dans quelque temps une réalité des plus concrètes.

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Algérie : recherche opposition désespérément

Posté par Rabah Naceri le 18 décembre 2008

Recherche opposition desespérément

(Source: TSA). A trop vouloir museler les champs politique et médiatique, à trop restreindre les libertés, à rechercher à tout prix et par tous les moyens l’asservissement du monde associatif, le pouvoir finira par s’en mordre les doigts. S’en rend-il seulement compte ? Les premiers signaux sont pourtant là, tel un sémaphore que les capitaines du bateau Algérie s’entêtent à bouchecousue.jpgignorer, au risque de mener l’embarcation à la dérive et de la faire échouer sur de dangereux récifs.

Le premier résultat tangible de cette politique éculée du tout pouvoir est le désintérêt affiché par l’écrasante majorité des Algériens à l’égard de la chose politique et des acteurs qui l’animent. Plus le pouvoir avance dans la voie qu’il semble s’être définitivement tracé, plus les citoyens se démarquent des discours politiques et des rendez-vous électoraux. Bien que substantiellement et artificiellement gonflés, les taux rachitiques de participation aux derniers scrutins nationaux et locaux en témoignent on ne peut mieux.

Le jeu est tellement fermé et les résultats courus d’avance que le pire des flambeurs en serait dissuadé. Aussi peut-on pertinemment se poser des questions sur le rôle véritable que joue présentement l’opposition ou, du moins, les acteurs qui s’en réclament. Sans préjuger de la sincérité des uns et des autres, ces opposants qui savent leur marge de manœuvre très fortement réduite et leur efficacité nulle ne sont-ils pas en train d’incarner, volontairement ou non, l’alibi démocratique si nécessaire au régime à l’égard des regards extérieurs ?

La parenthèse démocratique s’est très vite refermée en Algérie et la comédie n’a que trop duré. En 1999 Bouteflika a été mal élu après le retrait de tous ses concurrents. En 2009, si la situation n’évolue pas et si toutefois il se porte candidat, le scrutin pourrait s’avérer un véritable fiasco. A moins que l’intéressé lui-même, dans un éclair de lucidité, renonce à sa propre succession. C’est dire que l’opposition, lorsqu’elle est réelle et qu’elle dispose des outils nécessaires pour jouer son rôle, est le meilleur vecteur de crédibilisation d’un pouvoir qui pourrait alors prétendre à la légitimité. Dans tous les cas, la meilleure manière de disqualifier un régime de parti unique qui ne veut pas dire son nom est encore de le laisser face à lui-même lorsqu’on n’a pas les moyens d’imposer l’alternance démocratique.

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HCA : Journée d’étude «Amazighité et histoire, onomastique et identité»

Posté par Rabah Naceri le 17 décembre 2008

amazigh.jpg

Amazighité et histoire,

onomastique et identité.

Dans le cadre de son plan de charge pour l’année 2008, le Haut Commissariat à l’Amazighité organise deux journées d’étude sur «Amazighité et histoire, onomastique et identité», au Centre familial de Zéralda, les 17 et 18 décembre 2008 à partir de 09h30.

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J’espère que le HCA publiera un résumé des conclusions de ce colloque sur Internet pour permettre à tous les Algériens de s’informer et de s’enrichir.

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Béjaïa est sous-équipée en matière d’infrastructures

Posté par Rabah Naceri le 16 décembre 2008

meslunettes.pngOn reconnait enfin que la wilaya de Bejaia accuse un grand retard en matière de développement (tous secteurs confondus). Il n’y a pas longtemps, les autorités locales refusaient d’admettre que notre wilaya est totalement oubliée par les programmes de développement et nous sommes heureux de constater aujourd’hui que le constat fait l’unanimité. A charge aux autorités concernées d’inscrire en urgence des programmes pour atténuer le retard accumulé depuis des décennies.

La wilaya de Béjaïa est sous-équipée

en matière d’infrastructures

Selon Dépêche de Kabylie

Le secteur des transports est dans une situation peu reluisante du fait que la wilaya de Béjaïa, constate le premier responsable du secteur, souffre d’un manque drastique en matière d’infrastructures d’accueil, telles les aires de stationnement, les abris-bus et un bloc administratif.

Le directeur des Transports de la wilaya de Bejaia estime que «les carences des moyens de transports sont ressenties de plus en plus par la population, surtout celle habitant les zones isolées». Dans l’état des lieux qu’il a dressé dans l’après-midi d’avant-hier  devant les élus de l’APW réunis en session ordinaire, ce dernier a indiqué que «les problèmes de déplacement sont posés à une échelle telle que l’initiative isolée ne suffit plus» avant de souligner que les pouvoirs publics doivent mettre en place des moyens de transport à même d’insuffler une nouvelle dynamique d’ordre organisationnelle dans le secteur.

Le secteur des transports est dans une situation peu reluisante du fait que la wilaya de Bejaia, constate le premier responsable du secteur, souffre d’un manque drastique en matière d’infrastructures d’accueil, telles les aires de stationnement, les abris-bus et un bloc administratif. «La wilaya est nettement sous-équipée en matière d’infrastructures d’accueil, les rares aires de stationnement que ce soit au niveau du chef-lieu ou dans les villes de l’intérieur souffrent toutes de l’exiguïté de l’espace» indique-t-il.

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L’Algérie s’ouvre aux langues ?

Posté par Rabah Naceri le 16 décembre 2008

Académie algérienne de la langue arabe :

Un congrès national sur les langues en 2009

meslunettes.pngL’académie algérienne de la langue arabe s’affaire à la préparation d’un congrès national portant sur l’enseignement des langues dans notre pays tout en approfondissant la réflexion sur les moyens de leur promotion. Le partenaire accompagnateur de ce congrès est le célèbre ministère de l’éducation nationale qui a été à l’origine du recul des langues étrangères des nombreux programmes scolaires qui ont fait de nos enfants des analphabètes trilingues alors qu’ils étaient prédisposés à être des polyglottes confirmés.

Une journée d’étude consacrée à ce grand évènement - qui rejouira tous ceux qui se sont tués à la revendiquer pendant des années et que l’on a laissés mourir - fut organisée recemment et présidée par le Professeur Hadj Salah qui a associé les représentants des parties concernées à savoir les concepteurs, les supervisuers et les exécutants. Aucune précision cependant n’est donnée sur les critères de sélection de ces représentants ni pourquoi les responsables de cette académie ont attendu si longtemps pour engager une telle réflexion aussi importante et qui engageait tout le devenir de nos enfants qui avancent sans repère avec le désespoir comme compagnon.

« Le congrès national sur les langues, qui sera organisé par l’Académie algérienne de la langue arabe l’année prochaine, sera une première dans les annales du pays. Il est dicté par des impératifs qu’il est crayon.giftemps de  prendre en ligne de compte. L’heure est aux ouvertures aux langues, comme il l’est aux cultures et au dialogue entre les civilisations. Nous n’inventons rien et il est clair que le multilinguisme est la voie du progrès, du développement et de l’accès au savoir, aux sciences et aux technologies.

En homme averti et au fait de l’évolution des grandes nations vers l’enseignement des langues, M. Abderrahmane Hadj Salah, détenteur de distinctions nationales et internationales, suggère qu’il incombe à tous les secteurs concernés de prendre part à la conception et à la mise sur pied d’un programme et d’une dynamique de promotion des langues et notamment le secteur de l’éducation nationale ainsi que celui de l’enseignement supérieur et la recherche scientifique » (selon le quotidien El Moudjahid).

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